L’Année de la Physique, de septembre 2023 à juillet 2024 est un évènement majeur qui
mobilise le monde scolaire et universitaire autour de la physique.
A l’occasion de l’année de la Physique, un concours académique est organisé à destination
des collégiens (de la sixième à la troisième) des établissements publics de l’Éducation
nationale et privés sous contrat.
Des élèves (tous niveaux) du collège François Rabelais ont participé à ce concours
sous la responsabilité de leur professeure de Sciences physiques, Mme Brillant.
Outre de développer l’engagement et la curiosité des élèves, les objectifs du concours
sont d’une part de mettre à l’honneur la physique à travers son caractère expérimental
motivant pour les élèves, d’autre part de

Quel que soit le résultat final, nous félicitons les élèves pour leur engagement et leur curiosité: ils auront réussi à mettre à l’honneur la physique et à développer des compétences transversales : communication, créativité, coopération!

Montrez-nous la physique en 180 secondes ! | Académie d’Orléans-Tours (ac-orleans-tours.fr)

Le prix de la collaboration scientifique pour nos élèves! BRAVO!!

au cnrs

Les collégiens fondus de physique

Sept collèges de la région Centre-Val de Loire ont participé au concours vidéo « Montrez-nous la physique en 180 secondes » dans le cadre de l’Année de la physique 2023-2024.

Vendredi, au cours de la cérémonie de remise des prix au centre de biophysique moléculaire du CNRS d’Orléans, les collégiens ont montré les vidéos qu’ils avaient créées.

Cette initiative du rectorat de l’académie d’Orléans Tours s’appuie sur le concours « La physique étonnante pour un Grand oral percutant ».

Anne Boisteux, inspectrice d’académie et inspectrice pédagogique régionale physique chimie, a organisé ce concours en partenariat avec le CNRS. Les critères : proposer une expérience de physique étonnante, réaliser une vidéo en équipe mixte, faire preuve de créativité et communiquer à l’oral avec aisance. Les collèges Victor-Hugo de Bourges, Albert-Camus de Dreux, François-Rabelais de Tours, Notre-Dame-La-Riche de Tours, Henri-Becquerel d’Avoine, Jean-Joudiou de Châteauneuf-sur-Loire et Jacques-de-Tristan de Cléry-Saint-André.

« Nous avons tout fait nous-mêmes »

Les jeunes ont été félicités. © Droits réservés

Trois prix ont été remis : le prix de la collaboration scientifique au collège François-Rabelais, celuide la démarche scientifique au collège Jacques-de-Tristan, et le prix de l’expérience étonnante aucollège Victor-Hugo de Bourges.

Les collégiens de Cléry-Saint-André ont présenté un glaçon en lévitation. Alison, l’une descollégiennes, a apprécié cette expérience : « J’ai découvert les sciences et surtout la physique etcela m’intéresse vraiment. »

Son camarade Adrien a retenu la bonne ambiance dans l’équipe : « Nous avons travaillé en vraie collaboration avec la répartition égale de toutes les tâches, que ça soit la présentation, l’enregistrement et le montage. Nous avons tout fait nous-mêmes. »

Adam (5ème 3) a écrit :

Nous sommes 10 élèves du collège ayant participé à un concours de sciences : « Montrez-nous la physique en 180 secondes ». Pour la remise des prix, nous avons été invités au CNRS d’Orléans. Vendredi 5 avril, nous sommes partis du collège direction le Loiret. Une fois arrivés à 14h sur l’immense site, nous avons visité les laboratoires  ICARE (institut de combustion, aérothermique, réactivité et environnement) principalement orientés sur l’étude des plasmas. On nous y explique de façon simple ce qu’est le plasma et comment il l’étudie.  Nous avons ensuite fait un détour dans un laboratoire étudiant la combustion de l’hydrogène pour l’utiliser dans la vie quotidienne. Puis arriva le moment fatidique mais avant nous avons regardé les projets des autres collèges participants.  Nous stressons mais nous sommes d’abord nommés dans la catégorie « prix de la démarche scientifique » mais nous ne remportons pas le prix, ensuite nous sommes nommés dans la catégorie « prix de la collaboration scientifique » et nous gagnons le prix ! C’est une reconnaissance après 3 mois de travail. Nous sommes rentrés à Tours heureux d’avoir pu donner un sens à notre travail. 

générateur à plasma permettant d’étudier le comportement aérodynamique et aérothermique de sondes spatiales lors des entrées dans l’atmosphère de Mars ou de la Terre.
Combustion du dihydrogène (étude de ce carburant pour décarboner l’atmosphère.
Chambre à vide dans laquelle sont reconstituées les conditions spatiales pour travailler sur des nouveaux satelittes.